Le Boulou

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Le Boulou
Le Boulou
Vue du Boulou.
Blason de Le Boulou
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Céret
Intercommunalité Communauté de communes du Vallespir
Maire
Mandat
François Comes
2020-2026
Code postal 66160
Code commune 66024
Démographie
Gentilé Boulounenc
Population
municipale
5 321 hab. (2021 en diminution de 4,2 % par rapport à 2015)
Densité 369 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 31′ 29″ nord, 2° 49′ 51″ est
Altitude Min. 55 m
Max. 363 m
Superficie 14,42 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Le Boulou
(ville isolée)
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vallespir-Albères
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.mairie-leboulou.fr

Le Boulou [lə bulu] Écouter est une commune française située dans le sud-est du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Vallespir, ancienne vicomté (englobée au Moyen Âge dans la vicomté de Castelnou), rattachée à la France par le traité des Pyrénées (1659) et correspondant approximativement à la vallée du Tech, de sa source jusqu'à Céret.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Tech, la Maureillas, Correc del Salt de l'Aygue, la Valmagne et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« le Tech ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Le Boulou est une commune urbaine qui compte 5 321 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'unité urbaine du Boulou et fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Boulounencqs ou Boulounencques.

En catalan son nom est « el Voló ».

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune du Boulou se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 20 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, et à 8 km de Céret[2], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Saint-Jean-Pla-de-Corts (3,4 km), Maureillas-las-Illas (4,1 km), Les Cluses (4,3 km), Montesquieu-des-Albères (4,3 km), Tresserre (4,4 km), Vivès (5,4 km), Banyuls-dels-Aspres (5,6 km), Villelongue-dels-Monts (6,0 km).

Sur le plan historique et culturel, Le Boulou fait partie du Vallespir, ancienne vicomté (englobée au Moyen Âge dans la vicomté de Castelnou), rattachée à la France par le traité des Pyrénées (1659) et correspondant approximativement à la vallée du Tech, de sa source jusqu'à Céret[4].

Situation de la commune.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 1 442 hectares. L'altitude varie entre 55 et 363 mètres[6].

La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[7].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Boulou est notamment traversé par le Tech, fleuve côtier prenant sa source dans les Pyrénées près de la frontière avec l'Espagne et se jetant dans la mer Méditerranée près de Elne. Par ailleurs, la Rivière de Maureillas se jette dans le Tech au niveau du Boulou.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Pyrénées orientales » et « Provence, Languedoc-Roussillon »[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 841 mm, avec 6,4 jours de précipitations en janvier et 3,5 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Vivès à 5 km à vol d'oiseau[10], est de 15,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 669,2 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « le Tech »[15], d'une superficie de 1 467 ha, héberge le Barbeau méridional qui présente une très grande variabilité génétique dans tout le bassin versant du Tech. Le haut du bassin est en outre colonisé par le Desman des Pyrénées[16].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[17] : la « vallée du Tech de Céret à Ortaffa » (611 ha), couvrant 10 communes du département[18] et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[17] :

  • le « massif des Albères » (10 837 ha), couvrant 10 communes du département[19] ;
  • la « rivière le Tech » (933 ha), couvrant 14 communes du département[20].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Boulou est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[21],[I 2],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine du Boulou, une unité urbaine monocommunale[I 3] de 5 514 habitants en 2017, constituant une ville isolée[I 4],[I 5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 6],[I 7].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (38,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (46,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (32,1 %), forêts (20,7 %), zones urbanisées (19 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,9 %), cultures permanentes (6,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,8 %), mines, décharges et chantiers (1 %)[23].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La ville du Boulou est reliée à Perpignan par la D 900, à Argelès-sur-Mer par la D 618 et à Céret par la D 115. L'autoroute A9 oriente vers Perpignan ou La Jonquera en Espagne.

Plusieurs lignes du réseau régional liO desservent la commune : la 530 (Arles-sur-Tech - Perpignan), 533 (Le Perthus - Perpignan), 550 (Céret - Argelès-sur-Mer), 551 (Montesquieu-des-Albères - Le Boulou).

Elle dispose aussi de deux navettes gratuites : la "navette urbaine" et la "navette thermale".

La commune dispose d'une gare dédiée uniquement au trafic fret sur la ligne d'Elne à Arles-sur-Tech.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune du Boulou est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier, le risque radon[24],[25].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin du Tech[26].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs[27]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène[28].

Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques inondations, mouvements de terrains et feux de forêts[29].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières et ferroviaires importantes et la présence d'une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune du Boulou est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[31].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Formes du nom

Les premières mentions du nom datent de 976[32] :

  • le , Oliba Cabreta, comte de Cerdagne et de Besalu s'engage à protéger Minimilla, dame de Saint-Jean-Pla-de-Corts, ainsi que ses possessions, dont celle du Volo (in Volone) ;
  • le , une personne connue sous le nom de Sundurla, ainsi que son fils Guimara, s'engagent à donner à l'église d'Elne des biens sis à Ursigà (Ursigano) au Volo (ad ipso Volone).

Le nom de la commune en catalan est El Voló[33].

Étymologie

Volo viendrait d'un terme signifiant falaise ou côte escarpée[32].

Histoire[modifier | modifier le code]

Ancienne Mairie (1912)

Les premières mentions du Boulou au Xe siècle révèlent un territoire partagé entre différents maîtres, notamment l'église d'Elne et Minimilla, dame de Saint-Jean-Pla-de-Corts. La localité semble passer au XIe siècle entre les mains des seigneurs de Montesquieu, possession confirmée en 1198 par Pierre II d'Aragon en faveur de Guillem de Montesquieu. À partir du XIVe siècle, la seigneurie revient dans le domaine royal[32].

À la fin du XVIIe siècle, Bernard de Kennedy, catholique originaire d'Irlande et arrivé en France avec la suite de Jacques II d'Angleterre, s'établit au Boulou et obtient la naturalisation française de la part de Louis XIV. Son petit-fils Côme de Kennedy devient co-seigneur engagiste du Boulou à partir de 1755. Joseph de Kennedy, fils de Côme, est seigneur du Boulou au moment de la Révolution française. Sa maison sert de quartier général au général Antonio Ricardos lors de la première bataille du Boulou gagnée par les Espagnols en 1793. Cela lui vaut d'être guillotiné après un procès expéditif le , au lendemain de la deuxième bataille du Boulou, victoire française cette fois-ci[34].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie du Boulou.

Canton[modifier | modifier le code]

La commune du Boulou fait partie du canton de Céret depuis sa création en 1790[35]. À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton de Vallespir-Albères.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[36]
Période Identité Étiquette Qualité
septembre 1944 septembre 1946 Jean Oliva    
septembre 1946 octobre 1947 Sauveur Delclos    
octobre 1947 avril 1959 Joseph Vives    
avril 1959 mars 1971 Raymond Carreras    
mars 1971 mars 1983 Joseph Santraille   Général
Commandeur de la Légion d'honneur, médaillé de la Résistance
mars 1983 juin 1987
(décès)
Henri Tribillac
(1919-1987)
DVD  
juin 1987 août 1987 Henri Berger   Adjoint du précédent et maire par intérim
août 1987 juin 1995 Marie-Rose Careras PS Élue lors d'un scrutin municipal partiel[37],[38]
juin 1995 mars 2008 Jean-Pierre Salgas DVD Officier retraité
mars 2008 octobre 2014
(décès)
Christian Olive[39],[40]
(1948-2014)
PS Retraité des douanes
octobre 2014 5 juillet 2020 Nicole Villard-Schlatter[41]
(1948- )
PS Éducatrice spécialisée retraitée
Suppléante du député Pierre Aylagas (2012 → 2017)
5 juillet 2020[42],[43] En cours François Comes
(1952- )
DVG Ingénieur BTP retraité, ancien premier adjoint
1er vice-président de la CC du Vallespir (2020 → )

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie ancienne[modifier | modifier le code]

La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

Évolution de la population
1355 1359 1365 1378 1424 1470 1515 1553 1643
139 f158 f139 f93 f178 f34 f38 f41 f12 f
1709 1720 1730 1755 1765 1767 1774 1789 -
96 f127 f116 f129 f300 H583 H116 f148 f-
(Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

Démographie contemporaine[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[45].

En 2021, la commune comptait 5 321 habitants[Note 7], en diminution de 4,2 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Orientales : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
4806207199181 0791 2011 2421 2951 333
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2531 2071 3091 3531 4781 5881 7481 7541 889
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9541 7681 9371 7011 8301 9182 0762 0742 198
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2 5122 9213 7094 2924 4364 4284 8585 0665 410
2014 2019 2021 - - - - - -
5 5735 2785 321------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[48] 1975[48] 1982[48] 1990[48] 1999[48] 2006[49] 2009[50] 2013[51]
Rang de la commune dans le département 16 15 17 19 21 18 17 17
Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

Enseignement[modifier | modifier le code]

Le Boulou possède une école maternelle et une école élémentaire, ainsi qu’une crèche[52].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête patronale et communale : [53] ;
  • Foire : 1er dimanche de septembre[53].

Santé[modifier | modifier le code]

Le Boulou est une ville thermale. Longtemps célèbre pour son eau a propriété curative dite « Eau du Boulou » la production est aujourd'hui stoppée depuis le début de l’été 2000[54].

La ville était surnommé « le Vichy du midi » [55]

La commune possède un cabinet médical, un cabinet de psychologue, un cabinet de sophrologue et d'hypnothérapeute et deux pharmacies (une au centre-ville, l'autre près du centre médical)[réf. nécessaire].

Cultes[modifier | modifier le code]

Catholique[modifier | modifier le code]

  • Chapelle Saint-Antoine.
  • Église Sainte-Marguerite de Molas.
  • Eglise Sainte Marie.

Protestant[modifier | modifier le code]

  • Église Évangélique, La Porte Ouverte Chrétienne[56].

Sports[modifier | modifier le code]

Rugby

En 2012, Boulou Sportif XV a été champion de France Honneur de rugby à XV en battant le RC Les Boucles de la Marne[Note 8] 40 à 12.

Le Boulou possède une piscine municipale avec 3 bassins, un de 1M 80 à 1M 50, un de 1M 20 à 0,6M et un de 0,1M et un panta-glisse

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 2 714 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 5 506 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 010 [I 8] (19 350  dans le département[I 9]). 40 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 10] (42,1 % dans le département).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 10] 12,4 % 13,5 % 13,4 %
Département[I 11] 10,3 % 12,9 % 13,3 %
France entière[I 12] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 2 860 personnes, parmi lesquelles on compte 70,6 % d'actifs (57,2 % ayant un emploi et 13,4 % de chômeurs) et 29,4 % d'inactifs[Note 11],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 13]. Elle compte 1 952 emplois en 2018, contre 2 041 en 2013 et 1 963 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 697, soit un indicateur de concentration d'emploi de 115 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,1 %[I 14].

Sur ces 1 697 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 686 travaillent dans la commune, soit 40 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 83,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7 % les transports en commun, 10,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

Activités[modifier | modifier le code]

Il existait au XIXe siècle une forte industrie du liège et de la fabrication des bouchons avec de nombreuses usines dont quelques-unes sont encore en activité dont Abel et les Bouchons Trescases.

Aujourd'hui, Le Boulou est une station thermale reconnue et qui est encore en plein développement avec un fort retour pour l'économie touristique tant pour les locations immobilières que pour les activités de loisirs greffées aux thermes (casino, campings, hôtels).

La ville du Boulou dispose de grandes infrastructures dans la zone autoroutière qui est la dernière sortie en France avant de franchir la frontière espagnole. De nombreuses voitures neuves transitent par la gare pour y être stockées avant d’être expédiées via l'autoroute en Espagne.

Après le centre-ville où il demeure de nombreux artisans, l'essentiel de l'économie et des emplois réside dans la zone artisanale et commerciale du Boulou où de grandes enseignes de distribution, de petits artisans, des restaurants se développent depuis de nombreuses années.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Monuments et lieux touristiques[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Boulou (Le) Blason
D'argent, à une fleur de lys d'azur en chef, accompagnée en pointe d'un vol abaissé de sable, à la bordure de gueules[61].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Ouvrages[modifier | modifier le code]

  • Henry Aragon, Étude historique sur Le Boulou (Roussillon), Perpignan, Gilles & Dufour,
  • André Bonnery, M. Burrini, Jean-Bernard Mathon et F. Saunier, Le Boulou : Itinéraires culturels transfontaliers : Actes des conférences du cycle 1999, Le Boulou, I T,
  • Pierre Cantaloube, Le Boulou et le Tech, Maureillas-Las Illas, Pierre Cantaloube, coll. « Série Franchissement du Tech à travers les âges », , 133 p. (BNF 37083709)
  • Jacques-Michel Ducros, Les vieilles pierres du pays catalan, J.M.D., , 386 p.
  • Denise Vergès-Courtois, Le Boulou : "El Volo", Pyrénées-Orientales : mon village et ses thermes, Paris, Éd. la Poste d'autrefois, , 128 p. (BNF 41190792)
  • Jean Versmée, Le Boulou à l'Étoile, Le Boulou, Impr. Imago, , 12 p. (BNF 35744703)

Articles[modifier | modifier le code]

  • Roger J. Archambault, « Un homme, un atelier, une œuvre… et si l’on parlait du maître de Cabestany », Cahiers de la Rome, no 9,‎ , p. 59-62 (ISSN 1248-1793)
  • S. Barba, « J’ai perdu mon cœur au Boulou », Cahiers de la Rome, no 18,‎ , p. 55-64 (ISSN 1248-1793)
  • Pierre Cantaloube, « Le Boulou, le Tech et ses franchissements », Cahiers de la Rome, no 9,‎ , p. 83-88 (ISSN 1248-1793)
  • Pierre Cantaloube, « Les Societés de Secours Mutuels du Boulou », Cahiers de la Rome, no 16,‎ , p. 49-56 (ISSN 1248-1793)
  • Pierre Cantaloube, « Les sources du Boulou », Cahiers de la Rome, no 16,‎ , p. 69-74 (ISSN 1248-1793)
  • Pierre Cantaloube, « L’église Sainte Marguerite de Molars », Cahiers de la Rome, no 19,‎ , p. 31-34 (ISSN 1248-1793)
  • Pierre Cantaloube, « Le clocher de l'église du Boulou : effondrement (1840) et reconstruction (1860-61) », Cahiers de la Rome, no 20,‎ , p. 51-56 (ISSN 1248-1793)
  • Georges Castellvi, « Un autel antique en remploi au chevet de l’église Sainte-Marie du Boulou ? », Cahiers de la Rome, no 13,‎ , p. 45-47 (ISSN 1248-1793)
  • Georges Castellvi, « Aux origines de la bataille du Boulou », Cahiers de la Rome, no 13,‎ , p. 48-50 (ISSN 1248-1793)
  • Georges Castellvi, « Présentation de l’ouvrage de Jacques Laflou (1798-v.1877) sur l’histoire du Boulou », Cahiers de la Rome, no 14,‎ , p. 67-69 (ISSN 1248-1793)
  • Georges Castellvi, « Les trompettes (Montesquieu-Le Boulou) », Cahiers de la Rome, no 17,‎ , p. 37-40 (ISSN 1248-1793)
  • Georges Castellvi, « Ordre de Saint Louis (collection de la bataille du Boulou) », Cahiers de la Rome, no 19,‎ , p. 37-40 (ISSN 1248-1793)
  • A. Catafau, « Le Boulou et Maureillas, deux exemples remarquables de celleres médiévales », Cahiers de la Rome, no 10,‎ , p. 25-34 (ISSN 1248-1793)
  • Jacques Chotard, « Pierre Bayle, jeune héros oublié », Cahiers de la Rome, no 15,‎ , p. 29-30 (ISSN 1248-1793)
  • Jean Codet, « La bataille du Boulou (30 avril-1er mai 1794) », Cahiers de la Rome, no 11,‎ , p. 41-68 (ISSN 1248-1793)
  • A. de Fruyt, « La bataille de Montesquieu (30 avril-1er mai 1794) », Cahiers de la Rome, no 13,‎ , p. 51-60 (ISSN 1248-1793)
  • Pascal Dupouy, « La bataille du Boulou (1793-94) », Cahiers de la Rome, no 9,‎ , p. 75-78 (ISSN 1248-1793)
  • Nathalie Gouzet, « Les « barques de cul » du Boulou », Cahiers de la Rome, no 12,‎ , p. 39-40 (ISSN 1248-1793)
  • Nathalie Gouzet, « Les thermes du Boulou », Cahiers de la Rome, no 14,‎ , p. 26-40 (ISSN 1248-1793)
  • Nathalie Gouzet, « De la rue du Régarail à la rue de l’Evolution sociale », Cahiers de la Rome, no 15,‎ , p. 35-42 (ISSN 1248-1793)
  • Nathalie Gouzet, « Classement du portail de l’église Ste Marie du Boulou », Cahiers de la Rome, no 16,‎ , p. 41-44 (ISSN 1248-1793)
  • Nathalie Gouzet, « Cimetière du Boulou – histoire d’un transfert », Cahiers de la Rome, no 16,‎ , p. 45-48 (ISSN 1248-1793)
  • Nathalie Gouzet, « Gros plan sur le cinéma Le Majestic du Boulou », Cahiers de la Rome, no 17,‎ , p. 79-84 (ISSN 1248-1793)
  • Jérôme Kotarba et C. Dominguez, « Les recherches archéologiques sur la route départementale 618 au Boulou, site du Pla de Molas/oliu Tort et du Pila », Cahiers de la Rome, no 17,‎ , p. 17-24 (ISSN 1248-1793)
  • J. Laflou ( XIXe s.) et Georges Castellvi (notes), « Notions historiques du Boulou et des abords primitivement connu sous le nom de Stabulum », Cahiers de la Rome, no 14,‎ , p. 70-76 (ISSN 1248-1793)
  • J. Laflou, « Notions historiques du Boulou – chapitre 3 (suite) », Cahiers de la Rome, no 15,‎ , p. 43-48 (ISSN 1248-1793)
  • Michel Martzluff, « Les plus anciens peuplements préhistoriques autour du Boulou », Cahiers de la Rome, no 16,‎ , p. 15-36 (ISSN 1248-1793)
  • G. Rouquié, Nathalie Gouzet et Georges Castellvi, « Collection « Bataille du Boulou, 1794 » », Cahiers de la Rome, no 10,‎ , p. 48-51 (ISSN 1248-1793)
  • Michel-Yves Saint-Dizier, « Acquisition de la collection « Bataille du Boulou » », Cahiers de la Rome, no 9,‎ , p. 11-12 (ISSN 1248-1793)
  • Michel-Yves Saint-Dizier, « Le Boulou, circuit culturel », Cahiers de la Rome, no 10,‎ , p. 68-82 (ISSN 1248-1793)
  • P. Vigo, « L’invasion espagnole et la bataille du Boulou », Cahiers de la Rome, no 13,‎ , p. 61-66 (ISSN 1248-1793)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Le RC Les Boucles de la Marne est une entente des villes de Le Perreux-sur-Marne, Nogent-sur-Marne, Bry-sur-Marne, Joinville-le-Pont, Fontenay-Sous-Bois, Champigny-sur-Marne, Villiers-sur-Marne dans le Val-de-Marne
  9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  10. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

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  5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
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  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
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  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  14. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 au Boulou » (consulté le ).
  15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  16. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

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  2. Stephan Georg, « Distance entre Le Boulou et Céret », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
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  61. Armorial général de France, dressé en vertu de l'édit de 1696. Vol. 14 : Languedoc (1ère partie) par Charles René d'Hozier